ça m'a surtout l'air d'une femme prétentieuse, qui croit que son film est un chef d'oeuvre, parce qu'il a marché au box office (ce qu'elle revendique également).
Puisque ce sont ses propos, Rosy Bosch, me semble-t-il, parle surtout de la sensibilité de son film et des émotions qui s'en dégagent. <br />
Par-contre, je trouve qu'elle "y va fort" lorsqu'elle dit qu'elle se "méfie de toute personne qui ne pleure pas en voyant le film" car je sais par expérience que certains ou certaines n'extériorisent pas leurs ressentis mais cela ne veut surtout pas dire qu'ils sont indifférents à ce qui se passe...<br />
Merci à toi d'avoir pris le temps de ré-écrire ce qu'elle avait dit, cependant cela ne change en rien mon opinion vis à vis de ce film.
Moi des gens comme ça, ça ne me donne pas envie de voir leur film. Tiens comme je suis gentil, voici ses propos exactes. C'était dans Les années lasers de septembre: <br />
"Je me méfie de toute personne qui ne pleure pas en voyant le film. Il lui manque un gène : celui de la compassion. (…) On pleure pendant La Rafle parce que… on ne peut que pleurer. Sauf si on est un "enfant gâté" de l’époque, sauf si on se délecte du cynisme au cinéma, sauf si on considère que les émotions humaines sont une abomination ou une faiblesse. C’est du reste ce que pensait Hitler : que les émotions sont de la sensiblerie. Il est intéressant de voir que ces pisse-froid rejoignent Hitler en esprit, non ? En tout cas, s’il y a une guerre, je n’aimerais pas être dans la même tranchée que ceux qui trouvent qu’il y a "trop" d’émotion dans La Rafle"
T'est gentille parce que moi, des grognasses pareilles te disant que t'es comme un nazi si tu pleure pas devant son film, ça me donne envie de lui péter à la gueule!lol