Né le 26 avril 1897, décédé le 14 janvier 1987

Avec  il réalise

" Written on the wind " - " Ecrit sur du vent "

Et voilà encore un test qui n'est pas concluant pour l'alignement des images et les centrer sur la page 

C'est pas de si tôt que vous verrez un film sur le blog quelque soit la rubrique, ni d'affiches dans "That's Entertainment", ni de photos d'acteurs/actrices dans "Black & White", ni de nouveaux "Personnages", ni "Une SCENE - Un FILM"

 Bref, vous l'aurez compris, c'est les 3/4 de mon blog qui est 

Voilà, je viens d'augmenter la largeur de ma colonne du miieu afin d'insérer 4 photos en 150 pixels pour qu'elles soient centrées, le tout en passant par "Apparence" et "Style"

Cela donne :

Ce qu'il faut c'est surtout ne pas se fier au visuel lorsqu'on est dans la page nouveau message car il y a un espace à droite.

Vous remarquerez qu'une fois publié, il existe un grand espace entre les photos et le texte et cet espace est impossible à supprimer par toutes les manipulations possibles...

Alors j'ai juste une question pour CB :

Vous ne pourriez pas mettre la même apparence entre la page "nouveau message" et le "message publié" ?

Oui, ça y est, la méchante sorcière de l'Ouest est morte! Le balai a été ramené et maintenant Dorothy compte sur l'immense pouvoir du magicien pour rentrer chez elle. Le lion, lui, c'est du courage qu'il voudrait et l'Epouvantail aimerait bien une cervelle (pas pour la manger bien sûr!) Quant à l'Homme de Fer Blanc, son désir le plus cher est d'avoir un coeur...

Agnès est un tout petit boutchou qui a 2 soeurs : Margo et Edith

Son rêve? Avoir des parents gentils avec une licorne apprivoisée car la sienne c'est un jouet

Elle voudrait aussi que leur maison soit en guimauve

Agnès croit des trucs bizarres. Par exemple qu'il sort un petit poussin du crâne chauve de Gru !

Elle confond survête et pijama parce qu'on fait des trucs cool avec (comme dormir)

Et elle aime des doudous très différents ...  

Mais ce qu'Agnès adore par-dessus tout, c'est l'histoire du soir...

Agnès s'est endormie. En route pour le pays des rêves...

Dans Pinocchio y'a un chat qui se nomme Figaro

Figaro ci ...

Figaro là ...

Figaro... Figaro... Fii - Ga -Rooo *

(* Heu ça c'est du Mozart et pas du Walt Disney. Retournons donc au film d'animation...)

Mais qu'est ce que c'est que ce truc ?

Ce n'est que Pinocchio voyons !

Bof, il m'intéresse pas ce Pinocchio. Il bouge pas !

Ah voilà un truc qui bouge, c'est mieux...

Trop bizarre ce bisou, j'ai envie de dormir ...

"Gooooood-moooor-ning" amis cinéphiles !

Ce matin j'ai une annonce très spéciale pour vous

Le Talentueux Robin Williams nous a quitté

Alors vous tous, ses amis cinéphiles ou autres

Essayez de ne pas être trop tristes

Car Robin Williams ne sera jamais bien loin

Il restera toujours de l'autre côté sur vos écrans ...

Connaissez-vous les "Giant microbes" ?

Ce sont des peluches en rapport avec le monde de la santé !

Pour les connaître de plus près :

Outres tous ces vilains microbes, il existe aussi des organes

et tout ce dont notre corps est constitué ...

( cliquez sur la peluche et son identité apparaîtra ) 

Perso, je trouve ça SUPER. Les bambins aprennent l'anatomie mais peuvent aussi maltraiter (ou câliner)les vilains microbes qui quelquefois les perturbent...

comme celui du rhume !

N°30 = RH

INDICE N°1 = acteur anglais qui a été anobli

INDICE N°2 = a tourné 4 fois avec Mankiewicz

Maintenant, le reste c'est à vous de les trouver...

Maître Yoda (moi quoi!) a trouvé :

N°4 = Lisa Minnelli

N°10 = David Niven

N°33 = Bob Hope

Borat a trouvé :

N°14 = Charles Bronson

N°37 = Groucho Marx

N°29 = Frank Sinatra

Ronnie a trouvé :  

N°15 = Jerry Lewis

N°34 = Peter Lorre

N°35 = Lucille Ball

N°17 = Elisabeth Taylor

N°25 = Cher

N°6 = Ernest Borgnine

N°18 = John Wayne

N°21 = Danny Kaye

Chonchon a trouvé :

N°31 = Kirk Douglas

N°26 = Sammy Davis Jr

Dasola a trouvé :

N°27 = Alfred Hitchcock

Princécranoir a trouvé :

N°29 = Barbara Streisand

N°20 = Bette Davis

Qui est Buzz ?

Un ranger de l'espace ou un jouet ?

 Lui, il est persuadé de faire partie de la patrouille Gamma du secteur 4

- Dis Buzz c'est où le secteur 4 ?

Parce que là tu es plutôt chez Andy et sur la Terre...

- Hé les gars, un nouveau jouet !

- Salut à toi le jouet. Et bienvenu dans la chambre d'Andy

- Non, non non et NON. Je ne suis pas un jouet

Je suis un vrai Ranger de l'Espace !

- Hou là là, c'est pas gagné avec celui-là ...

Né le 29 juillet 1896

Où mène un début de carrière en commençant par des illustrations pour livres d'enfants? Même William Cameron Menzies ne l'aurait pas deviné puisque le mot Directeur Artistique sera crée rien que pour lui en 1928 par un des grands "majors" de la MGM : O'Selznick!

Né à New Haven dans le Connecticut de parents émigrés écossais, Menzies étudie à la prestigieuse Université de Yale puis s'installe à New York et entre à l'école des Beaux Arts dans la non moins prestigieuse Art Students League. La guerre éclate, il est mobilisé mais dès son retour son ami Anton Grot (peintre décorateur qui travaille avec Raoul Walsh et D.W.Griffith) le fait rentrer aux Studios Fort Lee et devient son assistant. Lorsque Raoul Walsh (qui est parti à Hollywood) l'invite à le rejoindre, il saisit l'opportunité et se fait rapidement engagés à la Famous Players-Lasky. 

Imaginez ce jeune homme de 23 ans, devenu  scénographe qui arpente les plateaux avec son carnet à dessins en faisant des croquis de décors et en rajoutant même des petits détails qui lui paraissent plus pertinents. Son travail novateur avec ces croquis planifie non seulement les couleurs et le design des décors mais également les différents champs de caméra, l'éclairage en passant même par la position des acteurs! En faisant cela Menzies ne se rend pas compte qu'il est en train d'inventer les 1ers Storyboards de l'histoire cinématographique... En à peine 3 ans, il devient chef décorateur. Ses conceptions immovantes démontrent le pouvoir de l'image par des effets visuels (illusion de gigantisme) voire même futuristes dans certains films.

Illusion de gigantisme 

("things to come" - "le voleur de Bagdad")

Inventivités de cadrage

("autant en emporte le vent"-"things to come")

Effet de profondeur 

("alibi" - "things to come" - "adresse inconue")

Incorporation d'un objet de décors au 1er plan 

 Il comprend dès lors que celui qui contrôle l'image n'est pas le Directeur (=Réalisateur), ni le Producteur mais bien le Directeur Artistique! A travers tout son travail il veut même convaincre le public que ce métier a un rôle important dans les films et pour cela il fait publier ses croquis dans le New York Times. En travaillant pour United Artists et la Fox, ses décors mettent alors en scène les plus grands artistes de l'époque (Rudolph Valentino, Douglas Fairbanks, Mary Pickford, John Barrymore...) 

A 34 ans, il passe derrière la caméra et tourne son 1er film "L'apprenti sorcier", un titre très révélateur...

A propos d'apprenti sorcier, voici sa vision des évolutions avec 3 films en passant les époques du muet, du parlant et de la couleur !

Avec près de 75 films à son actif

3 fois nominé

Il remporte 1 Oscars pour 2 films

 la colombe (1928)

la tempête (1928)

Décors de quelques films :

le voleur de Bagdad

D'abord, vues sur les studios...

croquis et décors...

alibi

Things to come

Robin des bois

le fils du Cheick

Autant en emporte le vent

(dont il aura effectué près de 2000 aquarelles !

Selznick enverra d'ailleurs une note à tous ses collaborateurs en leur disant que "Menzies a le dernier mot"

  bulldog Drummond

 la maison du Docteur Edwardes

 Parmi ses films les plus connus :

Années 10 :

le naulahka - le témoin de la défense

Années 20 :

les deep purple - le serment - Robin des bois - sa soeur de Paris - l'aigle noir - cobra - quel prix beauté - le fils du cheik - the wanderer - the bat - le rogue belowed - Camille - Sorrel et fils - 2 chevaliers d'Arabie - la colombe - le jardin d'Eden - la tempête - la femme contestée - les amours zéro - le masque de fer - le sauvetage - alibi - coquette - 3 fantômes vivants - la porte verrouillée - bulldog Drummong - condamné - la mégère apprivoisée - New York nights - faiblesse humaine - Rosita

Années 30 :

 Abraham Lincoln - le mauvais - une nuit romantique - Dubarry femme de passsion - raffles - vers de la lune - toujours au-revoir - Alice au pays des merveilles - cavalcade - things to come - les aventures de Tom Sawyer - le jeune coeur - intermezzo - autant en emporte le vent

Années 40 :

une petite ville sans histoire - le diable s'en mêle - crimes sans châtiment - le livre noir - correspondant 17 - le voleur de bagdad - duel au soleil - règne de la terreur - ainsi se termine notre nuit - la fierté du Yankee - l'étoile du nord - pour qui sonne le glas - adresse inconnue - Ivy - arc de triomphe

Années 50 :

batterie dans le sud profond - la famille sans soucis - la haute main - envahisseurs de Mars - le labyrinthe - le tour du monde en 80 jours - le rocher du diable 

Quelques photos de films

James Quick (critique de cinéma) dira de lui qu'il avait crée "une oeuvre de génie rare"

Née en 1903, décédée en 1964

Quand elle était enfant, Irène Leitz disait qu'elle aurait un magasin pleins de jolies robes mais en fait, c'est dans le cinéma muet en tant qu'actrice qu'elle commença à en avoir!  Malgré son métier d'actrice qui lui plaît, elle décide tout de même de faire des études de stylisme à la L.A. Wolfe School of Design et quitte le 7ème Art pour ouvrir sa 1ère petite boutique. Au décès de son mari, elle la vend et en ouvre une autre dans le luxueux bâtiment Bullocks Wilshire sur Sunset Boulevard où toutes les stars d'Hollywood viennent faire leur shopping. Ses robes et ses tailleurs se font vite remarquer et som nom devient si célèbre que le magazine "Vogue" lui consacre plusieurs numéros en disant que ses créations forment toute "l'élégance californienne"

Des petites productions de cinéma la contactent pour des croquis de robes, puis c'est le tour de la RKO, la Paramount et Columbia pour lesquels elle crée des robes légères et voluptueuses. Elle se marie avec le frère de Cedric Gibbons (qui est chef costumier de la MGM) et ensemble ils travaillent pour de nombreux films. Or, il est difficile d'avoir 2 créateurs de talents sans avoir d'histoires... Leurs mésententes perpétuelles au sein de la MGM finissent par la décision de son départ en 1950.

Ce n'est que 10 ans plus tard, sur la demande de son amie Doris Day qu'elle revient dans le monde cinématographique en travaillant cette fois-ci pour Universal. En 1961 Gary Cooper décède, elle fait une énorme dépression et un an plus tard, dans une chambre d'hôtel, elle de suicide en laissant une lettre d'adieu.

Près de 50 films à son avtif, 2 fois nominée

1 Oscar remporté pour :

"piège à minuit " (1961)

Croquis et robes pour Judy Garland

"parade de printemps "

" le chant du Missouri "

Croquis et robes pour Marlène Dietrich

" the lady is willing "

" Kismett "

Croquis et robes pour Doris Day :

 "piège à minuit"

"un pijama pour deux"

Croquis et robes pour Katharine Hepburn :

" lame de fond "

Robes pour les partenaires de Fred Astaire

Autres croquis :

 Parmi ses films les plus connus :

Années 30 :

carioca - l'entreprenant Mr Petrow - le couple invisible - mariage incognito - casbah - l'autre - intermezzo

Années 40 :

arise my love - madame veut un bébé - l'amour vient en dansant - quelquepart en France - joies matrimoniales -jeux dangereux - oh toi ma charmante - l'amour travesti - un petit coin aux cieux - la Du Barry était une dame - parade d'étoiles - girl crasy - kismet - 30 secondes sur Tokyo - le chant du Missouri - le grand national - le portrait de Dorian Gray - règlement de comptes - escale à Hollywood - Yolanda et le voleur - la vallée du jugement - l'aventure - les demoiselles Harvey - Ziedfeld Follies - Jody et le faon - le facteur sonne toujours 2 fois - la pluie qui chante - marchands d'illusions - la femme de l'autre - quand vient l'hiver - senorita toreador - parade de printemps - l'indomptée - dans une île avec vous - le pirate - l'enjeu - la fille de Neptune - la scène du crime

Années 50 :

la clé sous la porte

Années 60 :

piège à minuit - un pijama pour deux

Quelques photos de films ...

- Mayday, mayday. Ici la tour de contrôle près du lagon.

Demande renfort pour tuer créature dans le lagon

Je répète : demande renfort pour tuer créature dans le lagon

 - Ici Clint de l'United States Air Force. Je vous entends.

Suis à 31 miles de l'objectif mais mission en cours.

Ordre prioritaire de tuer tarantule géante.

Je répète : ordre prioritaire de tuer tarantule géante.

- Roger Clint, continuez votre mission et bonne chasse !

- A tous les équipages, ici Clint. Objectif en vue. 

Largage de nepalm à toutes les unités.

Je répète : largage de nepalm !

- Bien visé les gars ! Objectif atteint. Retour à la base.

Mais à peine arrivés, une mauvaise nouvelle les attend...

- Messieurs.  Nouvel objectif à l'ouest avec départ immédiat.

Changement de costumes recommandé pour tous !

- Qu'est-ce qu'on va foutre à l'ouest? se dit Clint...

- Tiens, mais c'est marrant aussi de viser avec un révolver !

Vous les gars, je ne sais pas ce que vous faites,

mais moi, "pour quelques dollards de plus", je reste ici. 

En plus c'est trop cool de monter à cheval !

( ARRET MOMENTANE - CAR IL N'Y A PAS EU QUE LES CHEVAUX DE MONTES...)

- Hep toi le reporter de mes deux. J'ai tout vu et entendu !

Tu tiens vraiment à ta vie ?

Alors MA vie privée, c'est MA vie privée. Compris !

Dans les années 60, il était James West 

( "En 104 épisodes des Mystères de l'Ouest, il avait refait le portait de 940 méchants dans 393 bagarres" )

 Et dans les années 70, c'était Pappy Boyington 

 Deux séries TV, toujours rediffusées !

Mais, le saviez-vous ?

Robert Conrad connaissait bien Anthony Spilotro, ce gangster joué par Joe Pesci dans "Casino" de Scorsese...

N'ayant trouvé aucun film sorti un 17 décembre (des années 1910-1911),

j'ai donc choisi ce film, puisqu'il est sorti en décembre 1910 !

Ménages parisiens

Métrage : 135 m  -  Format : 35 mm

Film muet français réalisé par Léonce Perret

Société de production : Société des Etablissements L.Gaumont

Acteur principal :

Léonce Perret 

Né à Boulogne Billancourt, un lieu cinématographique qui le prédestinait... 

 De ses merveilleuses interprétations, une immense carrière se profilait.

La neige en aura décidé autrement...

J'avais vu :

"Le pacte des loups"

"Jacquou le croquant"

" Un peuple et son roi"

"Hannibal lecter, les origines du mal"

" Un long dimanche de fiançailles"

 "La princesse de Monpensier"

"Saint Laurent" 

" Un barrage contre le Pacifique "

Il avait tourné avec Otto Preminger, Aldrich, Denys de La Patellière, Claude Autant-Lara, Lautner, Andrew V. McLaglen, Visconti, Stanley Kramer, Attenbourought, Brooks et même Kubrick !

Bref, vous l'aurez compris, Hardy Krüger a eu une longue carrière...

Mes films préférés :

Barry Lyndon

Le vol du Phoenix

Le Franciscain de Bourges

Le secret de santa Vittoria

Un pont trop loin

Un taxi pour Tobrouk

Gonfler les ballons

 Allumer les bougies (On a dit les bougies !)

Déguster les amuse-bouche

 Ramener des amis musiciens (Ou mettre de la musique)

Débuter le souper par une bisque de homard

Après le repas, s'amuser

Eclater de rire

Faire des jeux

( Je crois qu'ils ont perdu au Strip Poker ... )

S'amuser et rire encore

Bref, retrouver son âme d'enfant !

Et en fin de soirée, pourquoi pas entamer une petite dance ...

Ah oui, un conseil à suivre IMPERATIVEMENT :

A tes invités, pas la vaisselle tu leur feras faire !

Je tiens à dire un grand merci à feue mon actrice fétiche (Audrey Hepburn) pour m'avoir fait découvrir Grégory Peck dans "vacances romaines", film qui lui était prédestiné puisqu'il y rencontra sa seconde femme (journaliste) lors d'une interview sur les plateaux de tournage...

( Son amitié avec Audrey dura 40 ans ) 

Et quoi de mieux qu'un petit résumé de sa vie pour mieux encore apprécier et comprendre le chemin parcouru par cet acteur hors paire. Alors voilà : lorsque ses parents divorcent, le petit Eldred est élévé par sa grand'mère et c'est avec elle qu'il découvre à l'âge de 9 ans son 1er film sur grand écran : "le fantôme de l'opéra" (version 1925) dont ils en ressortent terrifiés! L'année suivante, il entre dans une école militaire où il dira plus tard qu'il y avait fait l'apprentissage des valeurs. Son père le prédestine à la médecine mais c'est pendant ses années d'études à Berkeley qu'il commence à s'intéresser au théâtre car, grâce à ce dernier, il "peut changer de peau". Comme il travaille pour financer ses études, il décide finalement de partir pour New-York pour y faire des études de comédie. En 1939, à l'âge de 23 ans et avec 160$ en poche, "Eldred Peck prendra le train et ce sera Grégory Peck qui en descendra"

En 1942, il se retrouve en tête d'affiche à Broadway et ce 1er rôle au théâtre le révèle immédiatement au grand public. Alors que beaucoup d'acteurs sont mobilisés à la guerre pendant cette période, Grégory Peck (qui n'a alors que 28 ans) se voit contacté par Zanuck. Ce dernier, très peu convaincu par la froideur apparente de son visage, réalise qu'il détient tout de même un potentiel et ce potentiel se révèle dès son 1er film car "Peckest" est nominé aux Oscars! Une nouvelle étoile hollywoodienne vient de naître. D'ailleurs, à propos d'étoile. Il fut un des 1ers acteurs à avoir son étoile sur Hollywood Walk of Fame, et ce fut la seule étoile à être volée!

A 34 ans, Grégory Peck a déjà tourné dans 12 films à succès et avec plus de 60 films à son actif dans toute sa carrière, cet acteur qui n'a laissé que de bons souvenirs aux producteurs ou aux acteurs avec lesquels il a travaillé, s'entendra  pourtant dire un jour par un certain Hitchcock : "Mon garçon, je ne me soucie guère de ce que vous pensez. Laissez juste votre visage se vider de toute expression..."

AUCUNE EXPRESSION !

Hé bien il va voir ce Hitchcock...

A la fin des années 90, alors qu'il s'est retiré du cinéma, il part à la rencontre de son public en faisant le tour des States afin de parler de son métier d'acteur. Si vous vouvez voir ces rencontres très enrichissantes, je vous conseille vivement le film-documentaire "A conversation with Grégory Peck" de Barbara Kopple.

A défaut d'étoile, il a nous laissé voici son empreinte ...

Le compte à rebours a commencé : 5, 4, 3 ...

(son d'un coup de frein) Voilà ce qu'il reste des Marx Brothers en fin de carrière : 3 dingo, 3 loufoques, 3 huluberlus, 3 ... qui n'ont cessé de nous faire rire par leurs comédies déjanctées. Des années 20 aux années 50.  Des années 20 aux années 50? ça ne veut rien dire! Ah, il n'y a pas de point de ponctuation après le mot déjanctées. Fallait le dire tout de suite Monsieur Groucho! Je sens qu'être la secrétaire de leur biographie ne va pas être simple...

(Pouet-Pouet) Harpo vous dit bonjour (enfin je crois) Il me sourit et a l'air d'être content de se retrouver ici sur mon blog. Le voilà qui cherche un truc dans son pardessus... Heu merci (je viens de recevoir une rape à fromage!!!)

(son d'une mélodie au piano) Je ne vous avez pas vu Monsieur Chico. Comment allez vous? Où sont vos 2 autres frères? Ben là, voyons! Ah pas ces 2 là, les 2 autres. J'en sais rien moi! Oh, Zeppo et Gummo vous ont quitté pour monter leur propre boite d'agents artistiques à Hollywood. Ils ont gagné le pactol et ça vous arrangeait bien car vous aviez tout le temps des dettes de jeu. Mais vous jouiez à quoi? Aux dames? Monsieur Chico, remettez tout de suite vos mains sur le piano. Non mais!

(2 gros sourcils se mettent à bouger) Oui Monsieur Groucho, vous vouliez me dire quelque chose? Si j'aime vos lunettes et votre moustache? Heu... Et la fumée de votre cigare? Humm ... cela m'incommode énormément. Voudriez-vous l'éteindre SVP? (la lumière s'éteind dans la pièce) Non, pas la lumière, votre cigare!

3 minutes. 3 minutes seulement avec eux et je sens déjà que mes nerfs vont lâcher...  Y'a-t-il quelqu'un de l'autre côté pour sauver une infirmière? Personne? Bon, je vais aller prendre un peu de Prozac et je reviens... Ouf, ils ont disparu! Mais quelle est cette odeur de brûlé? Vous savez quoi, ils viennent de réitérer un de leur méfait :

(son d'un jingle car moment de l'annecdote)

Un jour, à la MGM, les Marx Brothers en ont eu marre d'attendre dans le bureau du producteur et du coup, ils se sont déshabillés et ont fait cuire des pommes de terre autour d'un grand feu de joie!

Retour à la normale (si je puis dire...) car là, c'est dans ma baignoire qu'ils sont! Et vous savez quoi, ils font cuire des saucisses!!!

Oui, Monsieur Groucho, vous dites? "6 seaux" - "seaux 6" - saucisses

(pouet - pouet) Quoi? 6 baignoires ?

SOS - MAYDAY - MAYDAY - AU SECOURS !

Appelez-moi les parents de ces énergumènes. Ah vous voilà enfin. J'ai 2 ou 3 mots à vous dire...

Comment ça Minnie, c'est vous leur mère qui les avez encouragé à développer leurs talents artistiques? Oui, je le reconnais, ce sont de grands mélomanes mais tout de même, Madame Minnie, FOUTRE LE BAZAR PARTOUT (et le mot est faible) vous trouvez cela artistique? Ah, ça ressemble à du Picasso ...

Y'a pas à dire, ce monde là est bien un monde surréaliste! En fait, je crois que je vais abandonner de faire leur biographie. D'ailleurs, je vais laisser mon clavier et mon appareil photos. S'ils veulent écrire la suite je les laisse faire...

Pour ma part, je vais aller faire un petit somme et me changer les idées en allant regarder quelques cartoons...

OH NON ! C'EST PAS POSSIBLE ! IL SONT PARTOUT !

J'ai la vague impression d'être dans le même état que Léo McCarney (le producteur des Laurel & Hardy) qui disait : "Ils étaient complètement fous et il était presque impossible de les réunir tous à la fois, il en manquait toujours un!"

Par-contre, si vous voulez les retrouver tous ensemble, je vous conseille de vous faire offrir 2 coffrets : celui de la MGM (où ils ont épuisé littéralement tous les producteurs) comprenant 5 dvd  et celui de l'Universal (car il fallait bien en épuiser d'autres...) avec 6 dvd.

Tout petit déjà, David Lean grimpait pour aller voir plus haut... Et en grandissant, ses 1,85m l'ont finalement bien aidé pour prendre de la hauteur et pour voir le monde d'une façon différente surtout si comme lui, on est passionné de Cinéma! Lean a donc profité de cette vision panoramique (et des conseils d'une tante lui disant de faire le métier qu'il aime) pour mettre en pratique ce dont à quoi il était destiné : faire des films.

Comment alors commencer dans le monde cinématographique lorsqu'on a 19ans et que l'on est Anglais? Hé bien, on apporte le thé aux acteurs, aux réalisateurs ou aux machinistes sur les plateaux de tournage aux Studios Gainsborough! Ce petit mois sans salaire lui offre sa 1ère vision sur ce qu'est le cinéma. C'est ainsi que, du 1er coup de Clap, aux dialogues récités et joués, aux jeux de lumières, aux décors, aux différents positionnements de caméras le tout finissant dans la cabine de montage, RIEN, absolument rien ne lui échappe. Car l'oeil de Lean apprend, repère, enregistre et façonne son jeune esprit critique. Affamé par la perfection qui l'anime (ce qui sera plus tard dévastateur pour lui) Lean décrypte les prémices de ce qui est bon, de ce qui est mauvais pour un film et observe les prodromes où l'alchimie s'opère entre le début (le scénario) et la fin (la pellicule)

Dès 1930, David Lean participe aux montages de films d'actualités qui sont diffusés par les Studios Gaumont dans les cinéma. A la fin de 12 années proléfiques avec 29 montages, c'est un David Lean âgé de 34ans bourré d'expériences qui se dévoile enfin et qui co-réalise son 1er film avec Noel Coward : "Ceux qui servent en mer". Après avoir réalisé 8 films en N&B (dont "les grandes espérances"*, "le mur du son" ou "Oliver Twist" qui valent bien le détour) Lean s'attaque à la couleur...

Et que nous offre-t-il comme ville à découvrir sur la pellicule? Venise la Sérénissime où les couleurs s'abandonnent furtivement entre les façades de palais, de canaux ou de ruelles étroites à l'image de son héroïne (Katharin Hepburn) qui finira par s'abandonner momentanément dans les bras d'un antiquaire vénitien dans le film "Summertime" * 2ans plus tard en collaboration avec le cinéma hollywoodien, le voyage se poursuivra en Thaïlande dans une épopée historique ("le pont de la rivière Kwai"*) puis de retour en Angleterre, Lean produira ce qui reste le chef-d'oeuvre de sa carrière, j'ai nommé l'immense film 7 fois oscarisé : "Lawrence of Arabia" *Suivrons alors "Le Docteur Jivago", "la fille de Ryan" et "La route des Indes"...

  * Pour ceux et celles que ça intéresse, ces films sont sur le blog

 Tout comme le thé reste infusé dans une tasse, le Cinéma de Lean reste puissamment infusé dans notre psychée collective. Et de cet homme oh combien perfectionniste (Robert Mitchum dira de lui : " Travailler avec David Lean, c'est comme devoir construire le Taj Mahal avec des cure-dents! ") nous, les cinéphiles, nous retiendrons de ses films un Art de la narration visuelle donnant un sens esthétique cinématographique hors du commun !

" BON-SOIR ... "

Depuis quelques jours sur le blog de Googfeles, on échange des opinions sur Hitchcock, cet homme connu dans le monde cinématographique comme ayant été le "Maître du suspens"  *

( * information on ne peut plus importante pour tous ceux ou celles qui habitaient une autre planète et qui ne connaissaient pas encore ce nom)

Alors, je me suis dit : je vais commencer cette nouvelle rubrique par lui, pas en parlant spécialement de sa filmographie mais principalement du personnage qu'il représente à mes yeux verts ( Hitchcock aimait la précision des détails ...)

Tout d'abord, je l'ai découvert en regardant le film "Les oiseaux" à la télévision. Je ne sais pas quel âge j'avais, mais le film m'avait impressionnée et j'avais envie de savoir QUI était derrière tout ça... Je suis donc allée à la bibliothèque (vous savez ce truc qui maintenant a été remplacé par Internet) et là, dans les quelques bouquins que j'avais trouvé, j'ai appris qu'il avait fait aussi d'autres films!

Des titres marquèrent plus mon esprit parce que je connaissais des acteurs renommés qui jouaient dedans:

" Soupçons"

" Sueurs froides "

" La mort aux trousses "

" L'homme qui en savait trop "

ON S'ARRETE QUELQUES SECONDES POUR UNE SEQUENCE  SUSPENS !

Pour ceux qui sont le sens de l'observation, je vous laisse un petit temps de réflexion pour deviner quels sont ces acteurs.

INTERDICTION de tricher et de lire la suite. On se plonge dans cette intrigue et on cherche les indices ...

Bon oui, c'était assez facile (je ne suis pas Hitchcock tout de même!)

C'est donc Cary Grant et James Stewart qui finalement m'ont donné envie de voir d'avantage de films tournés par Hitchcock car j'appréciais déjà leurs talents d'acteur et dès que je le pouvais, je regardais le "Ciné-Club" ou "La dernière séance" afin de d'assouvir ma passion juvénile pour les"vieux films américains"

Maintenant que vous connaissez "mes débuts" avec le cinéma d'Hitchcock, je vais vous dire ce que je pense de l'homme. Ma réflexion se porte sur plusieurs années enrichies de lectures, de nombreux documentaires biographiques, de visionnages de films mais également sur ma mâturité d'esprit (ah, que c'est bon d'avoir vieilli...) Et ce que je retiens de ce "Maître du suspens", c'est que durant toute sa carrière Hitchcock a mis sur pellicule toutes ses angoisses primaires et qu'il n'a jamais cessé de manipuler les acteurs ou les actrices en ayant la Maîtrise de l'objectif de la caméra. Qu'on ne s'y trompe pas, ce n'est pas le jeu de l'acteur qui était le plus important, mais la façon dont la caméra tournait autour d'eux qui l'a rendu si célèbre! Tel un félin guettant ses proies, Hitchcock se servait de la caméra pour que le spectateur participe entièrement à ses films mais en l'amenant là où lui il voulait...

" LE CINEMA EST LA JUXTAPOSITION DE DIFFERENTS ELEMENTS QUI SUSCITENT UNE EMOTION CHEZ LE SPECTATEUR "

Il me paraissait normal de parler de Chaplin durant cette période puisqu'il nous a quitté un jour de Noêl en laissant derrière lui un héritage culturel cinématographique international. Et quel cinéma, mes amis! Des films allant du muet au parlant, soit plus de 60 ans derrière et devant la caméra. Car Chaplin savait et pouvait tout faire : metteur en scène infatigable (il n'hésitait pas à mimer lui-même ce qu'il a envie que les comédiens restituent sur la pellicule), monteur (manipulant les rush pour faire apparaître ou disparaître des personnages), cascadeur (il prenait tous les risques pour faire ses gags), scénariste (les histoires de ses films parlent d'elles-même) et il possédait un instinct musical qui donnait un réel langage au cinéma muet.

Chaplin, c'était aussi cet acteur incomparable qui avait crée le héros le plus attachant qui ait existé au cinéma : CHARLOT. Ce vagabond à la fois pur et innocent contrastant avec le vaurien ou l'anarchiste. Or, personne mieux que lui n'a su donner la vie aux choses inanimées en les transformant ou en les détournant de leur fonction première. Et par ces actes ludiques, voire même enfantins, le public atteint dans son psychisme se laissait et se laisse toujours porter par ce qu'il découvre sur l'écran.

Cela fait maintenant plus de 30 ans que CHAPLIN nous a quitté. Cet homme au destin incomparable, cet infatigable battant dont "l'esprit était un véritable grenier à idées", ce puriste du cinéma me manque. Cependant, j'imagine très bien ce petit boutchou de 5 ans qui monte sur les planches du Music-Hall où se produisent ses parents et qui rêve peut-être d'être aussi dans la lumière...

Alors lui, c'était l'Aventure avec un grand A !

Et quand on sait qu'Errol Flynn est le descendant d'un marin ayant fait partie des mutins du Bounty et qu'il descend également du véritable Robin des bois, on se dit que dans sa carrière cinématographique il y aurait bien un jour des coïncidences qui le relieraient à ses ancêtres...

Mais pour le moment, le jeune Errol vit seul avec sa mère en Australie (car son père biologiste et anthropologue est souvent en voyages à l'étranger) et il lui en fait voir de toutes les couleurs : comportement turbulent à l'école, aucunes bonnes notes, fugues à répétition (la 1ère à l'âge de 7 ans mais dont la plus mémorable sera celle d'embarquer clandestinement sur le navire où son grand-père est enrôlé et qui lui vaudra d'aller en pensionnat en Angleterre) Pourtant, il y a un domaine où Errol Flynn excèle : c'est le sport. Pas de doute le foot, le tennis, la gym ou même la boxe, ça, ça lui parle. Avec ce feu intérieur qui le démange, il finit par tout envoyer ballader à 17 ans et décide de faire sa propre vie avec ses propres choix. Etant le digne fils de son père, il fait de l'anthropologie à sa manière et essaye alors tous les métiers : pêcheur à la dynamite, trafiquant, guide d'expédition, aide vétérinaire, capitaine de bâteau de transport, correspondant du journal "Sydney Bulletin", etc...

En 1933, le producteur australien Chauvel lui offre son 1er contrat d'acteur alors qu'il n'a que 24 ans dans un film intitulé "In the wake of the Bounty" (tiens tiens, voilà notre 1er ancêtre qui influe sur son destin...) Errol Flynn se sent comme un poisson dans l'eau en faisant des cascades et en jouant la comédie devant la caméra. Il part pour l'Angleterre et intègre la troupe du "Theâtre Northampton Repertory Company". Son physique et son talent sont remarqués par Irvin Asher (des Productions Teddington) qui le recommande rapidement à Jack Warner. Et voilà, Errol Flynn deviendra l'Aventurier avec un grand A dans ce monde cinématographique où il croisera un jour le chemin d'un autre personnage qui lui collera à la peau à tout jamais (tout comme ses beaux collants verts!) Eh bien le voilà ce 2ème ancêtre qu'on attendait et qui a sûrement aussi influencé son destin...

Annectode : Pour le film "les racines du ciel" toute l'équipe eut la dysenterie ou la malaria sauf 2 personnes : John Huston et Errol Flynn car, contrairement aux autres, ils ne buvaient pas d'eau ...

" j'ai vécu, et bien vécu, comme un glouton qui mord la vie à pleines dents "

( tiré de son autobiographie : "mes 400 coups" )

Il avait incarné le rôle de Jack Beauregard ("Mon nom est Personne" de Sergio Leone) il s'appelait Henry Fonda et vous en conviendrez il avait un beau regard... Avec cet avantage certain et ses 1.87m l'âge d'or du cinéma hollywoodien n'attendait que lui. Or, si Henry Fonda est devenu acteur c'est parce qu'il est tombé dedans et, tout comme Obelix quii est tombé dans la potion magique, il ne l'a pas fait exprès!

Plutôt attiré par le journalisme ou à être écrivain, Henry Fonda poursuit des études universitaires mais ne trouvant aucun job son père le prend avec lui dans l'imprimerie familiale. Un jour, la mère de Marlon Brando (qui est une amie de la famille Fonda) sollicite Henry pour un rôle au théâtre l'Omaoha Community Playhouse. Sans connaître ses prestations, elle lui confie tout de même le rôle principal car ce grand timide introverti correspond tout à fait au personnage de la pièce. Henry se prend très vite au jeu et devient même plus doué sur les planches du théatre que sur les planches de l'imprimerie de son père. Et que fait, à votre avis, un jeune homme de 20 ans lorsque son père lui dit : "Non mon fils tu ne deviendras pas un saltimbanque". Hé bien il fait tout le contraire ...

Donc après un conflit père-fils, Henry Fonda file à New-York dans une petite piaule sans confort où il rejoint James Stewart et Joshua Logan's,  deux de ses potes de la troupe de théâtre de l'Université de Princeton. Les 3 co-locataires ayant un plus de 60 ans à eux 3 sont bien décidés à percer dans le show busines  : Stewart veut devenir acteur dans le cinéma, Henry acteur au théâtre et Joshua aimerait être scénariste.  Ils ne le savent pas encore mais leurs voeux seront exaucés.

Henry (sous contrat à la Fox) et James (en contrat à la MGM) partageront l'affiche de 3 films lors de leur brillante carrière= "Cinq hors la loi" - "la conquête de l'ouest" - "attaque au Cheyenne Club" et resteront de très bons amis en vieillissant (normal vous me direz  quand on a partagé les galères et le même "chiote")

Joshua co-écrira la pièce "Mister Robert" qui aura plus de milles représentations et qui sera reprise par John Ford en 1955, les deux adaptations ayant Henry Fonda dans le rôle principal.

A 76 ans après avoir délaissé le cinéma, il tourne son 111ème films  (TV et Cinéma confondus) et obtient son dernier Oscar pour sa prestation dans "la maison du lac" au côté de sa fille Jane et de Katharine Hepburn.  L'immense acteur s'éteint peu de temps après et laisse désormais l'empreinte de son regard à sa fille...

Et en prime, rien que pour vous des dessins

car son talent n'était pas que devant un public...

Dans une lointaine galaxie de drôles petits personnages habitaient sur la planète Cartoon

Un jour, l'un d'entre-eux trébucha et tomba sur la Terre...

C'est ainsi que nous terriens, nous avons découvert JERRY !

Comment définir Jerry ?

Je dirai que c'est un Cartoon ambulant sur la planète Terre

Tout comme les Barbapapa, Jerry se transforme

Et c'est aussi un danseur hors paire ...

Oui, vraiment hors paire !

Sur sa planète Cartoon, Jerry savait que TOUT était possible

 Sauf que chez nous non. Jerry s'en est vite aperçu ...

 Jerry ne pensait pas que passer une journée sur la Terre ce serait si fatiguant

Aussi, en fin de journée complètement épuisé, il n'aspire qu'à une seule chose  SE REPOSER !

Alors Jerry s'endort... Et Jerry rêve...

 D'ailleurs là, à 87 ans, il rêve encore ...